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Les douze frères
Les douze frères Märchen

Les douze frères - Contes des Frères Grimm

Temps de lecture pour enfants: 16 min

Attention : C'est une histoire qui fait peur.

Il y avait une fois un roi et une reine qui vivaient ensemble en bonne intelligence. Ils avaient douze enfants, mais c’étaient douze garçons. Un jour le roi dit à la reine:

– Si le treizième enfant que tu me promets est une fille, les douze garçons devront mourir, afin que l’héritage de leur sœur soit considérable, et que le royaume tout entier lui appartienne. Il fit donc construire douze cercueils qu’on remplit de copeaux; puis le roi les fit transporter dans un cabinet bien fermé, dont il donna la clef à la reine, en lui recommandant de n’en rien dire à personne. Cependant, la mère était en proie à un violent chagrin. Le plus jeune de ses fils, à qui elle avait donné le nom de Benjamin, s’aperçut de sa peine et lui dit:

– Ma bonne mère, pourquoi es-tu si triste?

– Cher enfant, lui répondit-elle, je ne dois pas te le dire. Mais l’enfant ne lui laissa point de repos, qu’elle ne l’eût conduit au cabinet mystérieux, et qu’elle ne lui eût montré les douze cercueils remplis de copeaux:

– Mon bien-aimé Benjamin, lui dit-elle, ton père a fait construire ces cercueil pour tes onze frères et pour toi, car si je mets au monde une petite fille, vous devez tous mourir et être ensevelis là. Et comme elle pleurait, l’enfant chercha à la consoler en lui disant:

– Ne pleure pas, nous saurons bien éviter la mort. La reine reprit:

– Va dans la forêt avec tes onze frères, et que l’un de vous se tienne sans cesse en sentinelle sur la cime de l’arbre le plus élevé, les yeux tournés vers la tour du château. J’aurai soin d’y arborer un drapeau blanc si je mets au monde un garçon, et alors vous pourrez revenir sans danger; si au contraire je deviens mère d’une fille, j’y planterai un drapeau rouge comme du sang; alors hâtez-vous de fuir bien loin, et que le bon Dieu vous protège. Lorsque la reine eut donné sa bénédiction à ses fils, ceux-ci se rendirent dans la forêt. Chacun d’eux eut son tour de faire sentinelle pour la sûreté des autres, en grimpant au haut du chêne le plus élevé, et en tenant, de là, ses yeux fixés vers la tour. Quand onze jours furent passés, et que ce fut à Benjamin de veiller, il vit qu’un drapeau avait été arboré, mais c’était un drapeau rouge comme du sang, ce qui prouvait trop qu’ils devaient tous mourir. Lorsqu’il eut annoncé la nouvelle à ses frères, ceux-ci s’indignèrent et dirent:

– Sera-t-il dit que nous aurons dû subir la mort pour une fille? Faisons serment de nous venger! Partout où nous trouverons une jeune fille, son sang devra couler. Cela dit, ils allèrent tous ensemble au fond de la forêt, et à l’endroit le plus épais, ils trouvèrent une petite cabane misérable et déserte. Alors ils dirent:

– C’est ici que nous voulons fixer notre demeure et toi, Benjamin, comme tu es le plus jeune et le plus faible, tu resteras au logis et te chargeras du ménage nous autres, nous irons à la chasse afin de nous procurer de la nourriture. Ils allèrent donc dans la forêt, et tuèrent des lièvres, des chevreuils sauvages, des oiseaux et des pigeons; puis ils les rapportèrent à Benjamin qui dut les préparer et les faire cuire pour apaiser la faim commune. C’est ainsi qu’ils vécurent pendant dix années dans la forêt; et ce temps leur parut court. Cependant la jeune fille que la mère avait mise au monde était devenue grande sa beauté était remarquable, et elle avait sur le front une étoile d’or. Un jour que se faisait la grande lessive, elle remarqua parmi le linge douze chemises d’homme, et demanda à sa mère:

– À qui appartiennent ces douze chemises, car elles sont beaucoup trop petites pour mon père? La reine lui répondit avec un soupir:

– Chère enfant, elles appartiennent à tes douze frères. La jeune fille reprit:

– Où sont donc mes douze frères? je n’en ai jamais entendu parler. La reine répondit:

– Où ils sont! Dieu le sait: ils sont errants par le monde. Alors, entraînant avec elle la jeune fille, elle ouvrit la chambre mystérieuse, et lui montra les douze cercueils, avec leurs copeaux et leurs coussins funèbres.

– Ces cercueils, lui dit-elle, étaient destinés à tes frères; mais ils se sont échappés de la maison avant ta naissance. Et elle lui raconta tout ce qui s’était passé. Alors la jeune fille lui dit:

– Ne pleure pas, chère mère, je veux aller à la recherche de mes frères. Elle prit donc les douze chemises, et se dirigea juste au milieu de la forêt. Elle marcha tout le jour, et arriva vers le soir à la pauvre cabane. Elle y entra et trouva un jeune garçon, qui lui dit:

– D’où venez-vous, et où allez-vous? À quoi elle répondit:

– Je suis la fille d’un roi, je cherche mes douze frères et je veux aller jusqu’à ce que je les trouve. Et elle lui montra les douze chemises qui leur appartenaient. Benjamin vit bien alors que la jeune fille était sa sœur; il lui dit:

– je suis Benjamin, le plus jeune de tes frères. Et elle se mit à pleurer de joie, et Benjamin aussi; et ils s’embrassèrent avec une grande tendresse. Benjamin se prit à dire tout à coup:

– Chère sœur, je dois te prévenir que nous avons fait le serment de tuer toutes les jeunes filles que nous rencontrerions. Elle répondit:

– Je mourrai volontiers, si ma mort peut rendre à mes frères ce qu’ils ont perdu.

– Non, reprit Benjamin, tu ne dois pas mourir; place-toi derrière cette cuve jusqu’à l’arrivée de mes onze frères, et je les aurai bientôt mis d’accord avec moi. Elle se plaça derrière la cuve; et quand il fut nuit, les frères revinrent de la chasse, et le repas se trouva prêt… Et comme ils étaient en train de manger, ils demandèrent:

– Qu’y a-t-il de nouveau? Benjamin répondit:

– Ne savez-vous rien?

– Non, reprirent-ils. Benjamin ajouta:

– Vous êtes allés dans la forêt, moi je suis resté à la maison, et pourtant j’en sais plus long que vous.

– Raconte donc, s’écrièrent-ils. Il répondit:

– Promettez moi d’abord que la première jeune fille qui se présentera à nous ne devra pas mourir.

– Nous le promettons, s’écrièrent-ils tous, raconte-nous donc. Alors Benjamin leur dit:

– Notre sœur est là. Et il poussa la cuve, et la fille du roi s’avança dans ses vêtements royaux, et l’étoile d’or sur le front, et elle brillait à la fois de beauté, de finesse et de grâce. Alors ils se réjouirent tous, et l’embrassèrent. À partir de ce moment, la jeune fille garda la maison avec Benjamin, et l’aida dans son travail. Les onze frères allaient dans la forêt, poursuivaient les lièvres et les chevreuils, les oiseaux et les pigeons, et rapportaient au logis le produit de leur chasse, que Benjamin et sa sœur apprêtaient pour le repas. Elle ramassait le bois qui servait à faire cuire les provisions, cherchait les plantes qui devaient leur tenir lieu de légumes, et les plaçait sur le feu, si bien que le dîner était toujours prêt lorsque les onze frères revenaient à la maison. Elle entretenait aussi un ordre admirable dans la petite cabane, couvrait coquettement le lit avec des draps blancs, de sorte que les frères vivaient avec elle une union parfaite. Un jour, Benjamin et sa sœur préparèrent un très joli dîner, et quand ils furent tous réunis, ils se mirent à table, mangèrent et burent, et furent tous très joyeux. Il y avait autour de la cabane un petit jardin où se trouvaient douze lis. La jeune fille, voulant faire une surprise agréable à ses frères, alla cueillir ces douze fleurs afin de les leur offrir. Mais à peine avait-elle cueilli les douze lis que ses douze frères furent changés en douze corbeaux qui s’envolèrent au-dessus de la forêt; et la maison et le jardin s’évanouirent au même instant. La pauvre jeune fille se trouvait donc maintenant toute seule dans la forêt sauvage, et comme elle regardait autour d’elle avec effroi, elle aperçut à quelques pas une vieille femme qui lui dit:

– Qu’as-tu fait là, mon enfant? Pourquoi n’avoir point laissé en paix ces douze blanches fleurs? Ces fleurs étaient tes frères, qui se trouvent désormais transformés en corbeaux pour toujours. La jeune fille dit en pleurant:

– N’existe-t-il donc pas un moyen de les délivrer?

– Oui, répondit la vieille, mais il n’y en a dans le monde entier qu’un seul, et il est si difficile qu’il ne pourra te servir; car tu devrais ne pas dire un seul mot, ni sourire une seule fois pendant sept années; et si tu prononces une seule parole, s’il manque une seule heure à l’accomplissement des sept années, et la parole que tu auras prononcée causera la mort de tes frères.

Les douze frères Conte merveilleux

Alors la jeune fille pensa dans son cœur:

« je veux à toute force délivrer mes frères » Puis elle se mit en route cherchant un rocher élevé, et quand elle l’eut trouvé, elle y monta, et se mit à filer, ayant bien soin de ne point parler et de ne point rire. Il arriva qu’un roi chassait dans la forêt; ce roi avait un grand lévrier qui, parvenu en courant jusqu’au pied du rocher au haut duquel la jeune fille était assise, se mit à bondir à l’entour et à aboyer fortement en dressant la tête vers elle. Le roi s’approcha, aperçut la belle princesse avec l’étoile d’or sur le front, et fut si ravi de sa beauté qu’il lui demanda si elle ne voulait point devenir son épouse. Elle ne répondit point, mais fit un petit signe avec la tête. Alors le roi monta lui-même sur le rocher, en redescendit avec elle, la plaça sur son cheval, et retourna ainsi dans son palais. Là furent célébrées les noces avec autant de pompe que de joie, quoique la jeune fiancée demeurât muette et sans sourire. Lorsqu’ils eurent vécu heureusement ensemble pendant un couple d’années, la mère du roi, qui était une méchante femme, se mit à calomnier la jeune reine, et à dire au roi:

– C’est une misérable mendiante que tu as amenée au palais; qui sait quels desseins impies elle trame contre toi! Si elle est vraiment muette elle pourrait du moins rire une fois; celui qui ne rit jamais a une mauvaise conscience. Le roi ne voulut point d’abord ajouter foi à ces insinuations perfides, mais sa mère les renouvela si souvent, en y ajoutant des inventions méchantes qu’il finit par se laisser persuader, et qu’il condamna sa femme à la peine de mort. On alluma donc dans la cour un immense bûcher, où la malheureuse devait être brûlée vive; le roi se tenait à sa fenêtre, les yeux tout en larmes, car il n’avait pas cessé de l’aimer. Et comme elle était déjà liée fortement contre un pilier, et que les rouges langues du feu dardaient vers ses vêtements, il se trouva qu’en ce moment même s’accomplissaient les sept années d’épreuve; soudain on entendit dans l’air un battement d’ailes, et douze corbeaux, qui dirigeaient leur vol rapide de ce côté, s’abattirent autour de la jeune femme. À peine eurent-ils touché le bûcher qu’ils se changèrent en ses douze frères, qui lui devaient ainsi leur délivrance. Ils dissipèrent les brandons fumants, éteignirent les flammes, dénouèrent les liens qui garrottaient leur sœur, et la couvrirent de baisers. Maintenant qu’elle ne craignait plus de parler, elle raconta au roi pourquoi elle avait été si longtemps muette, et pourquoi il ne l’avait jamais vue sourire. Le roi se réjouit de la trouver innocente, et ils vécurent désormais tous ensemble heureux et unis jusqu’à la mort.

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Contexte

Interprétations

Langue

„Les Douze Frères“ des frères Grimm est un conte de fées classique qui aborde des thèmes tels que le sacrifice, la fraternité, et la rédemption. L’histoire commence avec un roi et une reine ayant douze fils. Le roi déclare que si leur prochain enfant est une fille, les douze garçons devront mourir pour que l’héritage soit uniquement celui de la fille. La reine, horrifiée par cette décision, prépare ses fils à s’échapper dans la forêt en cas de naissance d’une fille.

Quand la reine donne effectivement naissance à une fille, ses douze fils, qui ont fui dans la forêt, après le signal du drapeau rouge, jurent de se venger en tuant toute jeune fille qu’ils rencontreront. Ils vivent dans la forêt pendant des années, jusqu’à ce que leur sœur, qui a grandi avec une étoile d’or sur le front, découvre le secret de ses frères et décide de les retrouver.

Elle réussit à gagner leur confiance et vit avec eux dans un équilibre heureux jusqu’à ce qu’un jour, par inadvertance, elle transforme ses frères en corbeaux en cueillant douze lis dans leur jardin. Désespérée, elle apprend d’une vieille femme qu’elle peut briser le sortilège en restant silencieuse et sans sourire pendant sept ans.

La jeune fille surmonte de nombreux obstacles, y compris un mariage avec un roi suspicieux influencé par sa mère malveillante, mais elle garde son vœu de silence jusqu’à ce que, au moment critique, ses frères soient libérés de leur malédiction. Ils interviennent juste à temps pour la sauver d’une mort injuste.

Finalement, elle est en mesure d’expliquer son silence au roi, prouvant son innocence. Les douze frères, leur sœur, et le roi vivent dès lors heureux ensemble, démontrant les valeurs de persévérance, de fidélité familiale, et de foi contre des difficultés apparemment insurmontables.

« Les Douze Frères » est un conte des frères Grimm qui explore des thèmes universels tels que la famille, le sacrifice, et la quête de la rédemption. Voici une analyse et interprétation des éléments clés du conte :

La décision du roi de sacrifier ses douze fils pour assurer un héritage exclusif à une éventuelle fille montre une vision patriarcale et matérialiste du pouvoir et de l’héritage. Cela met en valeur la position difficile des enfants face aux décisions arbitraires des adultes, souvent guidées par le désir de richesse et de pouvoir.

Rôle de Benjamin : Benjamin, le plus jeune fils, joue un rôle central en tant que lien affectif et protecteur de la fratrie. Sa proximité avec sa mère et sa prise de conscience de la situation familiale soulignent l’importance de l’unité et de la compréhension dans la famille.

La Quête de la Sœur : La volonté de la sœur de rechercher ses frères perdus représente le courage et l’amour fraternel pur. Son initiative de se lancer seule dans la forêt pour retrouver ses frères symbolise une quête initiatique et un désir de réparation des torts causés.

Transformation et Malédiction : La transformation des frères en corbeaux incarne la punition et l’impact des actions impulsives, mais représente aussi une chance de rédemption. Les corbeaux, souvent associés à la solitude et au mystère, deviennent ici le symbole du lien brisé par les circonstances.

Le Silence et le Sacrifice Personnel : Le vœu de silence que doit observer la sœur souligne les thèmes du dévouement et du sacrifice personnel pour le bien des autres. Cette épreuve de sept ans teste la résilience et la détermination de la sœur à libérer ses frères.

Intervention du Destin : Le moment critique où les sept années se concluent exactement lorsque la sœur est menacée de mort, réaffirme un thème récurrent dans les contes de fées: la notion de destinée et de récompense du comportement altruiste et vertueux.

Résolution et Réunion Familiale : L’issue heureuse avec la réunification des frères et sœurs, et l’acceptation de la reine par le roi après l’épreuve, montrent une réconciliation et un retour à l’harmonie. Cela suggère que l’amour et la fidélité familiale surmontent les plus grands obstacles.

En somme, « Les Douze Frères » est un récit sur l’amour inconditionnel et la résilience en face des épreuves. Il transmet des leçons sur l’importance de la famille et du sacrifice, montrant que même dans un monde de contraintes et de décisions injustes, l’amour et la détermination triomphent.

L’analyse linguistique du conte „Les douze frères“ des frères Grimm peut se concentrer sur plusieurs aspects: le style narratif, les motifs récurrents, le lexique utilisé, la structure du récit, et les schémas typiques des contes de fées, entre autres.

Style narratif: Le conte utilise un style narratif traditionnel, typique des contes de fées. Il commence par la formule classique „Il était une fois“, qui place l’histoire dans un temps indéterminé et universel. Le ton est direct et simple, ce qui est caractéristique des contes visant à être compris par un auditoire large, incluant les enfants.

Structure du récit

Le conte suit une structure en trois actes classique: introduction (présentation des personnages et déclenchement du problème avec la naissance de la sœur), développement (les frères vivent dans la forêt, la sœur les retrouve, mais un sort les transforme), et résolution (les frères sont délivrés et la sœur réussit son épreuve de silence).

Thèmes et motifs récurrents: Les motifs de la famille et de la fratrie sont centraux, avec l’accent mis sur les liens entre la sœur et ses frères. Le motif de la métamorphose, où les frères sont transformés en corbeaux, est un élément récurrent dans les contes de Grimm, symbolisant souvent une malédiction à briser. Le sacrifice et la fidélité sont thèmes importants, illustrés par la sœur qui accepte de rester muette pendant sept ans pour sauver ses frères.

Caractéristiques linguistiques: Le lexique du conte est riche en termes concrets liés à la nature, comme les forêts, les animaux (lièvres, chevreuils, corbeaux), et les plantes (les lis). Les dialogues sont peu nombreux mais significatifs, souvent porteurs de l’action narrative, par exemple, la scène où Benjamin obtient la promesse de ses frères de ne pas tuer la première jeune fille qu’ils rencontreront.

Symbolisme

Les couleurs ont une forte symbolique: le drapeau rouge comme le sang symbolise le danger et la mort potentielle, tandis que l’étoile d’or sur le front de la sœur évoque la pureté et la royauté, voire une bénédiction ou un destin prédestiné. Le chiffre douze résonne fortement, souvent utilisé dans les contes pour représenter un ensemble complet, reflétant aussi le symbolisme du zodiaque ou des mois de l’année.

Tonalité et moralité: Le conte, comme beaucoup de récits de Grimm, contient une tonalité moralisatrice implicite: la valeur de la loyauté familiale et du sacrifice personnel est exaltée. Il se termine sur une note de réconciliation et de pardon, après avoir traversé des épreuves et des malentendus, une fin typique des contes de fées soulignant la restauration de l’harmonie.

Cette analyse montre combien les contes des frères Grimm sont riches en éléments linguistiques et narratifs qui permettent des lectures et des interprétations diverses, tout en ancrant le récit dans la tradition orale et littéraire du conte de fées.


Information pour l'analyse scientifique

Indicateur
Valeur
NuméroKHM 9
Aarne-Thompson-Uther IndiceATU Typ 451
TraductionsDE, EN, DA, ES, FR, PT, FI, HU, IT, JA, NL, PL, RU, TR, VI, ZH
Indice de lisibilité selon Björnsson36
Flesch-Reading-Ease Indice63.4
Flesch–Kincaid Grade-Level9
Gunning Fog Indice11.6
Coleman–Liau Indice10
SMOG Indice11.5
Index de lisibilité automatisé8.4
Nombre de Caractères11.057
Nombre de Lettres8.608
Nombre de Phrases107
Nombre de Mots1.962
Nombre moyen de mots par phrase18,34
Mots de plus de 6 lettres347
Pourcentage de mots longs17.7%
Nombre de syllabes2.896
Nombre moyen de syllabes par mot1,48
Mots avec trois syllabes222
Pourcentage de mots avec trois syllabes11.3%
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